Parfois, un peu comme la peintre impressionniste Berthe Morisot, il faut savoir admirer ce qui est simple et beau, puissant et paisible, placide et sensible, silencieux dans l'absorption voluptueuse de ce le bain de lumière qui semble sa vraie nourriture... La masse musculeuse du troupeau s'ébroue devant le râtelier, rumine en m'observant, moi, cet étrange être qui se fige pour les saisir dans leur immobilité.